Pour vous guider dans votre découverte des bistrots parisiens, voici un petit top 20 personnel, en espérant que votre bonheur s'y trouve.
L'Absinthe : Mon bistrot préféré des Rostang père et filles. Mal entouré sur une place du Marché St Honoré qui préfère le volume à la qualité, mais la carte, l’équipe et la terrasse sont fabuleuses.
http://www.restaurantabsinthe.com/
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Alfred : Une cuisine et un décor désuet mais une fraicheur et une authenticité unique à Paris. La vraie cuisine bourgeoise sans chichis ni marketing faite par un des chefs les plus sympathiques de Paris
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Ami Jean : Le top de la Bistronomie ! Entre l’ardoise et la carte, impossible de ne sélectionner que trois plats. Carte des vins remarquables. À faire au moins une fois par an.
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L'Assiette : Le décor et l’esprit de Lulu est toujours la. Une très belle adresse trop discrète qu’il faut soutenir car David Rathgeber a un talent et une générosité immense.
http://www.restaurant-lassiette.com/
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Le Baratin : Un lieu improbable au fin fond de Paris et une femme lumineuse en cuisine. Cela ne ressemble à rien d’autres, une ambiance, des goûts, des odeurs et un charme incomparable.
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Bascou : Une carte courte, des plats mythiques comme le Lièvre à la Royale ou le Homard XXXX. La cuisine de Bistro revisitée par le second de Senderens, grande époque.
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Bal Café : Le petit nouveau au fond d’une impasse du 18ème et au sein d’un des plus beau lieu dédié à la photographie. Une cuisine britannique revisitée et accessoirement le meilleur brunch de Paris.
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Bistrot Volnay : Prix largement mérité du meilleur bistro de l’année. Version CSP++ du genre avec beau décor, grands vins, nappage et argenterie. Un duo féminin redoutable en salle et un grand chef en cuisine. Incontournable !
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Casa Bini : Indémodable, increvable, toujours l’un des meilleurs italiens de Paris avec une nouvelle petite annexe à coté à découvrir vite.
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Café Constant : Le meilleur rapport qualité-prix de la capitale. On a envie de tout prendre et d’y venir tous les jours. Très impressionnant.
http://www.cafeconstant.com/1.aspx
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Caméléon : Encore une réussite de Monsieur Arabian qui a récolté ici toutes les médailles du genre. Un foie de veau dingue, des desserts régressifs, un patron omniprésent. Presque un peu trop rodé.
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Itinéraires : On en parle moins qu’à l’ouverture mais cela ne désemplit toujours pas. Une des meilleures « formules » depuis la création du genre. Pas très fun mais l’assiette est redoutable.
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Kitchen Galerie et Bis : Lequel choisir entre l’original et l’annexe ? chaque repas est un voyage et un émerveillement . Seul le niveau sonore peut décourager.
http://www.zekitchengalerie.fr/
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Le Moderne : Pas encore très connu mais une des valeurs sures de Foodmedia. Cuisine et carte des vins très inspirés et équipe délicieuse soutenue par Yannick Alléno.
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Le Passage : Une bonne affaire, un bistro élégant, un élégant bistro d’affaire au premier étage de chez Senderens. Encore assez confidentiel, très raffiné, menu imbattable à 35 euros, ouvert midi et soir, 7/7… Je n'ai pas encore trouvé un défaut.
http://www.restaurant-le-passage.com/presse/
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Pantruche : La nouvelle cantine des esprits brillants du 9 ème. On a envie de tout prendre, de tout boire et de bavarder avec ses voisins ou avec l’équipe affutée du lieu.
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Passage 53 : On a vu ce bistro un peu bricolo ouvrir avec ses premières maladresses, puis obrenir la première étoile, puis la seconde… Un peu éxagéré mais quand même un mélange rare de créativité et de spontanéité. L’école de L’Astrance a frappé avec un chef japonais bluffant.
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Régalade St Honoré : L’essence même de ce qu’il y a de meilleur dans le renouveau des bistrots à Paris. Un amour de chef, des portions généreuses, une excellence des produits et des préparations, une envie de rester à table des heures.
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Toyo : Dans l’heureuse déferlante de brillants restaurants japonais à Paris, celui ci assure fortement. Un long et magnifique comptoir pour déguster à coté de Kenzo un menu de petites bouchées rares et subtiles très bien accordées en vins.
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Yam'tcha : On rève la nuit d’obtenir une table tant la liste d’attente méritée est longue. 14 couverts seulement pour la meilleure cuisine franco-asiatique de Paris, exécutée devant vous par une chef au sourire contagieux. L’école de L’Astrance a encore frappé.
I would like this!!!
Rédigé par : spartoo | 01/11/2013 à 13h51